J'adore cette photo. Non pas en raison du gode-ceinture! Parce que je devine toute la tendresse d'une femme plus agée. 

Hier j'ai publié un texte de Murielle intitulé "Première fois". C'est son deuxième texte, l'autre étant "États d'apesanteur".

Il se trouve que Murielle se nomme en réalité Bernard. C'est de ce prénom que "Murielle" a accusé réception de mon dernier courrier. On ne peut commettre un tel impair que si son genre n'est pas celui prétendu.

Dois-je en être offensée? Assurément.

Il arrive bien souvent que des auteurs, hommes ou femmes, veuillent utiliser des pseudonymes. Je n'y vois aucun problême. L'histoire est truffée de ces exemples.

Le problême c'est de ne pas le savoir! Le problème c'est de vouloir à tout prix se faire passer pour une femme alors que c'est faux!

Le problème est de m'envoyer des courriers en signant "Murielle" alors que c'est faux!

C'est une félonie affligeante et inacceptable.

Vous me direz mais alors! Pourquoi laisses-tu ses textes sur ton blog?

Pour témoignage, pour témoigner combien certaines personnes peuvent être basses.

Mélanie.

Juste un petit texte "première fois".

J'étais dans mon adolescence période douloureuse pour moi et commençais à sentir comme une différence; je ne ressentais aucune attirance pour les garçons et adorais ma prof de maths pour sa féminité que je sentais assumée.

Nous étions cette année là en Bretagne en vacances et mon frère était avec son copain de lycée qui ne me quittait pas et me draguait ostensiblement ce qui me "gavait" et me laissait indifférente.

Ma tante la soeur de mon père que j'aimais beaucoup car elle était moins coincée que ma mère était venue nous rejoindre pour quelques jours.

C'était l'ambiance plage barbecue insouciance et pour ma part longues baignades à nager parfois loin du bord; l'eau froide de l'océan en Bretagne me vivifiait.

Je me souviens que j'avais déjà nagée longtemps et de retour sur la plage ma tante me dit allez j'ai envie de tester ma condition physique viens nager avec moi.

J'étais un peu épuisée mais pour faire plaisir à ma tante je l'accompagnai.

Nous nageâmes très longtemps et je suivais ma tante et commençais à admirer la courbure de ses reins et  adorai alors regarder son corps se tendrre sous l'impulsion de ses mouvements de brasse.

Elle regagna le bord tout au bout de la plage loin de la famille.

Elle sortit de l'eau la première et s'ébroua presque: je remarquait très vite ses seins et ses tétons surlignés par l'eau sur le tissu de son maillot de bain deux pièces.

Je posai sans le chercher mon regard sur son slip de maillot de bain et remarquai son sexe si bien dessiné et les poils de celui- ci légèrement dressés et sans doute figés par le sel.

J'ai ressenti pour la première fois l'envie de glisser mes doigts sur cette fente qui s'offrait à moi et l'envie de lècher.

J'ai senti chez ma tante comme une confusion.

Je sortis rapidement de l'eau et comme pour cacher cette gène je dis à ma tante: allons rejoindre les autres en courant.

Le soir dans ma chambre j'explorai mon sexe mes lèvres sans penser au copain de mon frère...

Murielle.